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Françoise Pétrovitch S'exprime sur la Poésie et le Professionnalisme de son Aventure Dior Lady Art cover
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Dior Lady Art

Françoise Pétrovitch S'exprime sur la Poésie et le Professionnalisme de son Aventure Dior Lady Art

Françoise Pétrovitch S'exprime sur la Poésie et le Professionnalisme de son Aventure Dior Lady Art

17min |07/12/2022
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Françoise Pétrovitch S'exprime sur la Poésie et le Professionnalisme de son Aventure Dior Lady Art

Françoise Pétrovitch S'exprime sur la Poésie et le Professionnalisme de son Aventure Dior Lady Art

17min |07/12/2022
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Description

Bienvenue dans la série de podcasts Dior Talks ayant pour thème la septième édition du Dior Lady Art et animée par la journaliste, basée à Paris, Katya Foreman. Pour l'événement de cette année, 11 artistes du monde entier se sont prêtés au jeu de la métamorphose en transformant l'iconique sac à main Lady Dior en une œuvre d'art unique.


Pour ce dernier épisode, nous plongeons dans l'univers de Françoise Pétrovitch pour découvrir son parcours d'artiste et les influences de son enfance passée à Chambéry, une ville alpine du sud de la France. "J'ai toujours considéré les beaux-arts comme une sorte de Graal, quelque chose d'extraordinaire. Mais je n'ai pas eu cette formation", explique l'artiste qui, depuis les années 1990, produit l'une des œuvres les plus puissantes de la scène artistique française.


Chez Françoise Pétrovitch, tout commence par un dessin, son univers s'étendant également à la céramique, aux lavis d'encre, au verre, à la peinture, à la gravure et à la vidéo. Les sujets abordés vont de la fragilité de la nature et du corps à l'intimité entre les personnes et aux raisons psychologiques qui peuvent nous rapprocher.


Pour ce projet, l'artiste a abordé le Lady Dior comme une sculpture, réinterprétant à l'encre le motif de cannage caractéristique du sac, et utilisant l'oiseau, symbole de liberté et de fragilité, comme un accent décoratif ludique, appliqué, par exemple, sur le cuir par une technique de sérigraphie, ou s’envolant sur des breloques pour ajouter un côté ludique et pop. 


La couleur se joue dans des diffusions en dégradé, comme des taches d'encre, ainsi que sur des doublures métalliques qui invitent à une réflexion sur l'intimité et l'intériorité.


" J'ai essayé de retrouver dans le cuir et l'imprimé la même qualité que celle que j'ai dans mes dessins. Donc ici, nous cherchions vraiment des juxtapositions de couleurs. C'était professionnel et en même temps très poétique, ce que j'adore", explique Pétrovitch.


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Description

Bienvenue dans la série de podcasts Dior Talks ayant pour thème la septième édition du Dior Lady Art et animée par la journaliste, basée à Paris, Katya Foreman. Pour l'événement de cette année, 11 artistes du monde entier se sont prêtés au jeu de la métamorphose en transformant l'iconique sac à main Lady Dior en une œuvre d'art unique.


Pour ce dernier épisode, nous plongeons dans l'univers de Françoise Pétrovitch pour découvrir son parcours d'artiste et les influences de son enfance passée à Chambéry, une ville alpine du sud de la France. "J'ai toujours considéré les beaux-arts comme une sorte de Graal, quelque chose d'extraordinaire. Mais je n'ai pas eu cette formation", explique l'artiste qui, depuis les années 1990, produit l'une des œuvres les plus puissantes de la scène artistique française.


Chez Françoise Pétrovitch, tout commence par un dessin, son univers s'étendant également à la céramique, aux lavis d'encre, au verre, à la peinture, à la gravure et à la vidéo. Les sujets abordés vont de la fragilité de la nature et du corps à l'intimité entre les personnes et aux raisons psychologiques qui peuvent nous rapprocher.


Pour ce projet, l'artiste a abordé le Lady Dior comme une sculpture, réinterprétant à l'encre le motif de cannage caractéristique du sac, et utilisant l'oiseau, symbole de liberté et de fragilité, comme un accent décoratif ludique, appliqué, par exemple, sur le cuir par une technique de sérigraphie, ou s’envolant sur des breloques pour ajouter un côté ludique et pop. 


La couleur se joue dans des diffusions en dégradé, comme des taches d'encre, ainsi que sur des doublures métalliques qui invitent à une réflexion sur l'intimité et l'intériorité.


" J'ai essayé de retrouver dans le cuir et l'imprimé la même qualité que celle que j'ai dans mes dessins. Donc ici, nous cherchions vraiment des juxtapositions de couleurs. C'était professionnel et en même temps très poétique, ce que j'adore", explique Pétrovitch.


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Bienvenue dans la série de podcasts Dior Talks ayant pour thème la septième édition du Dior Lady Art et animée par la journaliste, basée à Paris, Katya Foreman. Pour l'événement de cette année, 11 artistes du monde entier se sont prêtés au jeu de la métamorphose en transformant l'iconique sac à main Lady Dior en une œuvre d'art unique.


Pour ce dernier épisode, nous plongeons dans l'univers de Françoise Pétrovitch pour découvrir son parcours d'artiste et les influences de son enfance passée à Chambéry, une ville alpine du sud de la France. "J'ai toujours considéré les beaux-arts comme une sorte de Graal, quelque chose d'extraordinaire. Mais je n'ai pas eu cette formation", explique l'artiste qui, depuis les années 1990, produit l'une des œuvres les plus puissantes de la scène artistique française.


Chez Françoise Pétrovitch, tout commence par un dessin, son univers s'étendant également à la céramique, aux lavis d'encre, au verre, à la peinture, à la gravure et à la vidéo. Les sujets abordés vont de la fragilité de la nature et du corps à l'intimité entre les personnes et aux raisons psychologiques qui peuvent nous rapprocher.


Pour ce projet, l'artiste a abordé le Lady Dior comme une sculpture, réinterprétant à l'encre le motif de cannage caractéristique du sac, et utilisant l'oiseau, symbole de liberté et de fragilité, comme un accent décoratif ludique, appliqué, par exemple, sur le cuir par une technique de sérigraphie, ou s’envolant sur des breloques pour ajouter un côté ludique et pop. 


La couleur se joue dans des diffusions en dégradé, comme des taches d'encre, ainsi que sur des doublures métalliques qui invitent à une réflexion sur l'intimité et l'intériorité.


" J'ai essayé de retrouver dans le cuir et l'imprimé la même qualité que celle que j'ai dans mes dessins. Donc ici, nous cherchions vraiment des juxtapositions de couleurs. C'était professionnel et en même temps très poétique, ce que j'adore", explique Pétrovitch.


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Bienvenue dans la série de podcasts Dior Talks ayant pour thème la septième édition du Dior Lady Art et animée par la journaliste, basée à Paris, Katya Foreman. Pour l'événement de cette année, 11 artistes du monde entier se sont prêtés au jeu de la métamorphose en transformant l'iconique sac à main Lady Dior en une œuvre d'art unique.


Pour ce dernier épisode, nous plongeons dans l'univers de Françoise Pétrovitch pour découvrir son parcours d'artiste et les influences de son enfance passée à Chambéry, une ville alpine du sud de la France. "J'ai toujours considéré les beaux-arts comme une sorte de Graal, quelque chose d'extraordinaire. Mais je n'ai pas eu cette formation", explique l'artiste qui, depuis les années 1990, produit l'une des œuvres les plus puissantes de la scène artistique française.


Chez Françoise Pétrovitch, tout commence par un dessin, son univers s'étendant également à la céramique, aux lavis d'encre, au verre, à la peinture, à la gravure et à la vidéo. Les sujets abordés vont de la fragilité de la nature et du corps à l'intimité entre les personnes et aux raisons psychologiques qui peuvent nous rapprocher.


Pour ce projet, l'artiste a abordé le Lady Dior comme une sculpture, réinterprétant à l'encre le motif de cannage caractéristique du sac, et utilisant l'oiseau, symbole de liberté et de fragilité, comme un accent décoratif ludique, appliqué, par exemple, sur le cuir par une technique de sérigraphie, ou s’envolant sur des breloques pour ajouter un côté ludique et pop. 


La couleur se joue dans des diffusions en dégradé, comme des taches d'encre, ainsi que sur des doublures métalliques qui invitent à une réflexion sur l'intimité et l'intériorité.


" J'ai essayé de retrouver dans le cuir et l'imprimé la même qualité que celle que j'ai dans mes dessins. Donc ici, nous cherchions vraiment des juxtapositions de couleurs. C'était professionnel et en même temps très poétique, ce que j'adore", explique Pétrovitch.


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